Mon musée idéal
Présentée à l’accueil de l’écomusée du port de Saint-Nazaire, cette médiation invite le visiteur à réfléchir à sa propre vision du musée au XXIe siècle. Après avoir choisi une fiche-question — par exemple « Est-ce que j’ai le droit de m’ennuyer au musée ? » ou « Le musée doit-il parler de l’actualité ? » — chacun est invité à écrire ou dessiner sa réponse, à indiquer son prénom, son âge et son code postal, puis à accrocher sa fiche sur une grande grille collective.
Les contributions composent peu à peu un portrait vivant et pluriel de ce qu’est un musée pour les publics d’aujourd’hui. Les réponses, parfois sérieuses, parfois pleines d’humour, témoignent de la diversité des attentes : ainsi, Lely (14 ans) considère que même l’ennui au musée peut être utile pour apprendre, Kamden (15 ans) imagine un musée en forme d’avion rempli de maquettes, et Jade (16 ans) rappelle l’importance de la mémoire historique face à l’actualité.
Année de lancement
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Auto-évaluation
Le schéma ci-contre représente selon dix critères, classés de 1 à 5, une forme d’auto-évaluation par l’institution. Sans aucune hiérarchie d’intérêt entre une médiation et une autre, il s’agit de se donner seulement une représentation en fonction du temps de préparation nécessaire, de l’implication des usagers attendue, du budget à consentir, du nombre de partenaires à mobiliser, des compétences techniques nécessaires, des spécialistes à réunir, du temps de préparation, de la durée de l’action proposée.
